Sanofi-aventis n’en finit plus d’aller chercher à l’extérieur de nouvelles opportunités de croissance de son chiffre d’affaires et de son activité. C’est désormais au tour d’Oenobiol, spécialiste des compléments alimentaires pour la santé et la beauté, de rejoindre le groupe pharmaceutique. Après avoir créé en 1985 les laboratoires Oenobiol, le docteur Marie Béjot a fait de cette entreprise le leader français sur le segment de la beauté en acquérant une forte notoriété avec le lancement, en 1989, d’Oenobiol Solaires.

La dernière offre formulée par Vivendi da le cadre de son OPA sur GVT s’est finalement révélée la bonne pour contrer les velléités de Telefonica. Jean-Bernard Levy continue aii de mener tous azimuts la stratégie d’expaion qu’il a iufflée à Vivendi depuis son arrivée aux commandes. En valorisant l’opérateur (téléphonie et Internet) brésilien 2,8 milliards d’euros - au lieu des 2 milliards proposés initialement -, Vivendi a emporté l’adhésion du marché et contré l’offre de son concurrent espagnol (autour de 2,5 milliards d’euros).

Après avoir racheté les laboratoires Wyeth un peu plus tôt cette année, le géant pharmaceutique américain Pfizer renouvelle sa gouvernance et son organisation interne, notamment en France. Emmanuelle Quilès, qui occupait depuis novembre 2007 le poste de présidente de Wyeth Pharmaceuticals France, est nommée présidente de Pfizer, toujou pour la France. Elle prend également la direction du département thérapies spécialisées du groupe, l’une des six business units de Pfizer.

La fortune en bas de la pyramide : éradiquer la pauvreté par les profits : entre autres critères de sélection, cet ouvrage a permis à son auteur d’origine indienne, Coimbatore Krishnarao Prahalad de prendre la première place du désormais célèbre Thinke 50. Ce classement, établi par deux journalistes britanniques, révèle tous les deux a les 50 peeu les plus influents du monde économique.

Se restructurer ou mourir ? Voilà le choix laissé aux sociétés de coeils. La crise boulevee leur activité. Fini le support aux traactio, désormais la mode est au restructuring et au coeil en stratégie. Face à cette nouvelle tendance, les banques d’affaires sont le mieux loties.

Attentisme et prudence ont été les maîtres mots du capital-risqueur, victime collatérale du marasme financier international, à compter du 4e trimestre 2008. Les financements s’assèchent, les possibilités de reprises diminuent, les besoi en cash des sociétés détenues s’amplifient… L’aveion au risque augmente. Pourtant, l’après-crise se prépare, et certai secteu attirent d’ores et déjà la convoitise des fonds. La prochaine bulle sera verte, mais l’IT et les biotechs réservent, eux aussi, leur lot de bonnes surprises.

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